La nouvelle stratégie de pêche risque de priver les pêcheurs artisanaux de leur travail. EN Mauritanie, la pêche artisanale représente 90% des emplois parmi les 53.000 personnes impliquées dans le secteur. La pêche est le premier pourvoyeur d’emploi dans le pays et joue un rôle important dans la lutte contre le chômage, elle représente un quart des recettes fiscales et la moitié des apports en devises.
Depuis près de vingt ans, les éleveurs de la wilaya de l’Assaba et de certaines zones du Tagant ont constaté chez leurs troupeaux, des signes d’une maladie mortelle, notamment des ballonnements et vomissements. Ces signes durent quelques jours seulement avant de tuer l’animal atteint. L’infection se propage très vite chez les troupeaux. Elle est derrière beaucoup des cas de mort de fœtus chez ces bétails. Ce qui pèse lourdement sur leur reproduction.
Quatre mois après que les denrées alimentaires ont cessé d’être distribuées par les organisations humanitaires aux réfugiés maliens, la situation est devenue encore plus difficile pour nombre d’entre eux, dans la mesure où ils étaient obligés de vendre de la marchandise pour pouvoir se procurer d’autres produits alimentaires dont ils ont besoin mais qui se vendent très cher.
Dans la province d’El Brakna, au centre de la Mauritanie, un avenir incertain attend des centaines d’enfants qui ont quitté très tôt les bancs de l’école pour entamer, à bord de simples carrioles, un long et pénible voyage à la recherche d’un moyen de subsistance qui, en améliorant leur situation financière difficile, leur permettrait ainsi qu’à leurs familles de vivre décemment.
Abdelwadoud Weld Mohamed Salem est un jeune mauritanien né en 1978 à Louxor, la banlieue la plus ancienne de la capitale Nouakchott. Il y a fait ses études primaires et secondaires et y a obtenu son baccalauréat. Après avoir fait la connaissance d’un groupe de jeunes fanatiques et fait de la prison pour appartenance à une organisation extrémiste, il a complètement changé de vie et il est devenu aujourd’hui président d’un club culturel et sportif.
Dans la banlieue est de la ville d’Aleg, capitale de la province centrale de Mauritanie, plus de 300 familles se sont établies dans un campement de fortune après avoir émigré de leurs régions du fin fond de la campagne, fuyant la sécheresse qui, à l’été 2012, a frappé de vastes étendues du pays et emporté des centaines de têtes de bétail entre bovins et ovins, ce qui signifie la perte de la principale source de revenus de la population rurale des provinces nord et du sud de la Mauritanie.