Immédiatement après le lancement de l’opération « Al Karama » au matin du vendredi 16 juillet, la ville d’El Marj s’est mise à accueillir les familles émigrées de la ville de Benghazi qui affluaient par vagues successives au fur et à mesure que s’intensifiaient les combats.
Assise sur l’un des bancs de la salle d’attente du service gynécologie de l’Association de santé communautaire de Niamakoro (ASACONIA), Samaké Mariam est anxieuse. Le regard fixé sur une ordonnance et ses résultats d’analyses médicales, elle est là pour voir un médecin. Enceinte de 7 mois, Samaké Mariam attend son tout premier enfant.
Leur métier est considéré comme étant l’un des plus difficiles et dangereux. Ils passent des jours et des nuits en mer loin de leurs familles pour pouvoir subvenir à leurs besoins.
Le 20 novembre dernier, le Radissson Blu, un hôtel huppé situé en plein cœur de Bamako a été la cible d’une attaque terroriste.
La mendicité infantile au Mali en général et à Bamako en particulier devient de plus en plus un fléau très sérieux. Ces enfants passent leur temps à mendier dans les feux rouges, les lieux de culte et souvent même devant les hôtels.
Pendant de longues années, la médication chez les habitants du Sahara s’est basée sur les herbes qui proviennent du désert et qui se sont illustrées, chacune, dans le soin de telle ou telle maladie, sans qu’une seule n’ait jamais déçu la confiance des personnes qui croient en elles.
Les blessés de la révolution libyenne qui se font soigner en Tunisie se sont trouvés en grande difficulté après le refus des cliniques de continuer à leur fournir les services médicaux dont ils ont besoin pour guérir.
En Mauritanie, de nombreuses personnes qui s’apparentent au milieu de la presse ne respectent pas l’éthique de cette profession.
Dans le Nord du Mali, le cauchemar de la vague salafiste jihadiste menace toujours la population dont la vie quotidienne se trouve sans cesse tourmentée par le spectre des explosions. Ces habitants martyrisés ont hâte de retrouver la paix et la sécurité que leur avaient enlevées les mouvements terroristes depuis 2012.
La souffrance que dut subir Axel Bondok durant toute son enfance, à force d’être privé de ses droits linguistiques a fait de lui aujourd’hui l’un des plus grands enseignants de langue amazigh de la ville libyenne de Zouara.