Bien que la capitale mauritanienne coure constamment le risque d’être submergée par les eaux de l’océan atlantique dont le niveau est situé plus haut que la plupart des quartiers de la ville,
Le Parc National du Diawling bénéficie du statut de réserve naturelle protégée pour les oiseaux et de nombreux animaux du Sud-ouest de la Mauritanie.
Suite au très accentué déficit pluviométrique enregistré ces deux dernières décennies au niveau de la zone Tidjikja-Tichit, les populations des localités situées le long de cet axe (Tentemlel, Imoudrane, Lakhcheb, Oum Laweitgatt, Khat wahch, Bameira, Tenchgag, Touajil, Edaver, Akchit, Tichit, Nemady et Agreyjit), sont confrontées à une soif sans précédent.
Au centre de la Mauritanie, dans la commune de Tamurt Annaj de la province " Al Majariya", les habitants de quartiers tels que "Lakriî", "Fom Ajjar" et "Tafrak Zina" souffrent le martyre à cause des eaux diluviennes qui inondent leurs quartiers à l’arrivée des pluies automnales.
Les autorités mauritaniennes font du mieux qu’elles peuvent pour tenter de maîtriser l’épidémie d’hépatite virale qui est en train de se propager de façon terrifiante parmi les Mauritaniens.
Après des années de la libération de l’espace audiovisuel, qui ont permis la création de cinq stations télé et de dizaines de journaux et journaux électroniques bénéficiant de la subvention gouvernementale annuelle allouée au secteur des médias, la capitale mauritanienne Nouakchott a abrité, du 11 au 14 juillet 2016, un débat sur la réforme du secteur des médias en Mauritanie,.
La capitale mauritanienne Nouakchott a connu, ces derniers jours, des précipitations de pluie estimées à 20 mm par le centre météorologique. Cela était suffisant pour transformer les rues de la capitale en des flaques d’eau et de marécages.
Le contraste est saisissant au niveau des grandes villes mauritaniennes. Le scenario qui s’offre aux visiteurs est partout le même : des habitats précaires à côté des villas luxueuses, la faim qui côtoie l’abondance et la misère face à l’opulence.
Elles sont une quarantaine de femmes qui portent de jolies melhafas (voiles mauritaniens) ou de boubous colorés et elles se sont réunies dans une salle de conférence au cœur de la ville de Nouakchott. Elles sont fonctionnaires, consultantes, professeurs, militantes des droits de l’Homme, journalistes, députés ou présidentes d’ONG. La crème des compétences au féminin. Elles sont de toutes les catégories sociales, de toutes les communautés, de toutes les formations politiques, majorité et opposition.
Après des années de travail au sein de La SONADER (Société Nationale pour le Développement Rural), 7 agents se sont retrouvés sans emploi. Ils ont été licenciés le 27 Juin 2016 sous prétexte qu’ils ont été recrutés sans concours alors que la loi prohibe les recrutements sans concours et reconnait leur caractère nul et de nul effet.