Même heure, même endroit : le carrefour proche de l’école "Jérusalem", au bout de la rue Mehdi Ben Toumert à Guelmim. C’est là que ce quinquagénaire a pris l’habitude de se tenir debout tous les jours, infatigable et assidu, sans faillir à son rendez-vous annuel… ou du moins rarement...
Des données choquantes ont été révélées récemment lors d’une conférence de presse tenue par des activistes femmes dans la capitale marocaine Rabat autour du thème « Femme et corruption ».
C’est une initiative sans précédent au Maroc. Des taxis sont apparus avec, sur leurs vitres arrières, les inscriptions : « Transport gratuit pour les personnes handicapées », « Les personnes handicapées sont transportées gratuitement», ou encore « C’est gratuit pour les personnes handicapées »…
Avec beaucoup d’hésitation et une peur bien visible, El Mokhtar se présente à ceux qui ne le connaissent pas comme « agriculteur » ou « cultivateur ». Mais au fur et à mesure qu’on discute avec lui, on découvre les côtés ténébreux de sa profession. Imperceptibles d’emblée, les aspects inavoués de son activité peuvent mener à la prison au Maroc ou, au mieux, à une vie de perpétuelle angoisse et de soupçons incessants à l’égard de son plus proche entourage.
Entre les flancs de l’Atlas marocain, les petits enfants affrontent beaucoup de difficultés pour venir à bout de leurs premières années de scolarité et aussi de celles qui suivent. Car dans ces contrées où, pendant l’hiver, la nature est impitoyable envers les habitants, les enfants parcourent chaque jour plusieurs miles pour arriver à l’école. Même ceux qui ont la chance de voir monter un établissement scolaire près de chez eux, se trouvent obligés de le quitter quelques années plus tard.
Dans la ville de Marrakech, « la place de la mosquée d’El Fana » (déformation phonétique de l’expression arabe « Al Fanaa’ ») est un mélange impressionnant de merveilles rarement réunies au même endroit dans le monde. Extrêmement animée jour et nuit, on peut y croiser tout au long de la semaine toutes sortes de donneurs de spectacles : dresseurs de serpents, clowns, danseurs travestis, conteurs, prestidigitateurs, musiciens.
C’est une jeune fille trentenaire qui pense sans cesse au suicide à cause des violences incessantes dont elle est victime de la part de son frère, de son père et de sa belle-mère. Ces personnes cruelles aux cœurs de pierre ont en effet transformé sa vie en enfer, comme s’il ne lui suffisait pas de devoir travailler très dur, tous les jours, dans un marché populaire voisin de la maison où elle habite, au quartier Mouhammadi à Casablanca, pour subvenir honnêtement à ses besoins quotidiens.
A dix kilomètres de la ville de Laarayech, au nord du Maroc, le village de Lahyaydha a été choisi par une société espagnole pour abriter le siège d’une entreprise de production et de commercialisation du riz.
La ville de Marrakech, spécialement la place de "la mosquée Al Fana", c’est la capitale du tourisme selon les célébrités internationales. C’est aussi un espace pour gagner sa vie quotidiennement pour les artistes pauvres. C'est le point de rendez-vous des professionnels de l'art de la "Halka" avec ses différentes scènes musicales et de spectacle.
Le divorce représente aujourd’hui un des sujets de discussion favoris dans la société sahraouie.
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