Sur le rythme des danses artistiques cohérentes au niveau des couleurs, des instruments et des mouvements, vêtus d’un habit amazigh traditionnel, les membres du groupe «Taskiwine » de Taroudant (périphérie de Souss au rif marocain) essaient de redonner vie à une danse masculine en la reproduisant dans les différents festivals locaux et les manifestations culturelles afin de la sauvegarder.
Les mines ne cessent de faire des victimes au Sahara, surtout parmi les gens en voyage et les bergers qui y ont trouvé un pied à terre. Certains y ont perdu une mère ou un père ou du bétail à cause des mines laissées par le colon.
La célébration de la Journée internationale de la femme au Maroc a été l’occasion pour évoquer le sujet de l’égalité des sexes dans les médias publics. La majorité des intervenantes ont dénoncé le décalage entre l’engagement de l’Etat en faveur du droit international en sa partie concernant les droits de l’Homme, en particulier ceux de la femme et la réalité de l’égalité des sexes telle que reflétée par les médias publics, c’est à dire d’une manière consacrant le stéréotype de la supériorité des hommes.
Une étude sur l’image de la femme dans les médias marocains, lors des élections communales et régionales de l’année 2015, présentée à Rabat à l’occasion de la Journée internationale de la femme, a révélé que les problématiques de la femme n’ont jamais été évoquées dans les émissions de débats politiques télévisés.
La célébration de la journée du 8 mars, au Maroc, a été marquée cette année par la présentation à Rabat d’une étude retraçant l’image la femme dans les médias marocains, lors des élections communales et régionales de 2015.
L’entrée en action d’un projet de carrières de sable a été empêchée par les habitants des bourgs avoisinant Tangarfa, au Sud du Maroc, à cause de ses répercussions potentielles sur l'environnement. Les contestataires appellent les autorités à ne pas fournir une licence d'exploitation au projet.
Sur des rythmes synchronisant couleurs, costumes, instruments et chorégraphies, la troupe Tasquine essaie de ressusciter une danse Amazighe ancestrale pratiquée par les hommes, en enchaînant les spectacles dans les festivals locaux.
Elles sont là quelque part...éparpillées un peu partout dans l’un des plus grands parcs de la ville de Tanger, au Nord du Maroc. Par un temps glacial et pluvieux, c’est à l’abri des arbres dispersés dans cet endroit délabré, un peu comme c’est le cas partout dans la ville, que ces femmes trouvent refuge.
C’est un endroit encombré et très sale… Il y a des ânes qui braient au milieu de tas d’ordures éparpillées un peu partout et écrasées par les pieds et les roues des carrioles poussées à la main ou tirées par les bêtes. Tel est le cadre où évolue une large catégorie de travailleurs marocains qui vivent du tri et du ramassage des déchets en plastique et en carton amassés dans les rues et ruelles des quartiers.
Portail du Moyen Atlas du côté de Fès au centre du Maroc, c’est ici que les habitants sont surnommés depuis la nuit des temps « les dresseurs de panthères ». Dans cet endroit, l’eau ne s’arrête jamais de couler à travers des cours qui relient les extrémités de la ville de l’est à l’ouest et du nord au sud. Il s’agit d’Imouzzer Kandar, capitale du tourisme montagnard « bon marché », là où séjourner dans des villes voisines telles qu’ Ifrane ou Azrou coûte le double, voire même plus.