Dans les tribunaux marocains s’empilent les dossiers des poursuites judiciaires engagées contre des journalistes ou contre des blogueurs dont le seul tort est d’avoir exprimé leur opinion sur des questions d’ordre politique ou d’avoir abordé des sujets faisant partie de ce qu’on appelle habituellement « les lignes rouges ». Ces pratiques semblent avoir pour objectif de pousser les journalistes à remettre en question leur crédo professionnel selon lequel « l’info est sacrée ; le commentaire est libre ». Aussi tenterons-nous dans cet article de faire la lumière sur la réalité des libertés d’expression et d’opinion au Maroc, notamment au moment où le Centre Marocain des Etudes et des Recherches sur les Droits de l’Homme et de la Presse annonce le projet de rédaction d’un rapport annuel où les violations seront exhaustivement observées et analysées.
Comme dans d’autres pays, le Maroc essaye d’encourager la participation de la femme à la vie politique. Ainsi, au sein du parlement marocain, la représentativité féminine est passée de 10 % en 2002 à 17 % en 2011 grâce au règlement intérieur de l’assemblée nationale qui a créé une circonscription électorale nationale composée de 90 membres dont 60 femmes. Quant au règlement intérieur de l’assemblée des conseillers, il stipule que, sur une liste électorale, il ne faut pas que se suivent les noms de deux candidats du même sexe.
Le Maroc vit ces jours-ci au rythme d’un nième rendez-vous politique majeur, à savoir les élections parlementaires. La question du faible intérêt des jeunes à la vie politique pose problème
« Les terroristes qui agissent au nom de l’Islam ne sont pas des musulmans et n’ont de lien avec l’Islam que les alibis dont ils se prévalent pour justifier leurs crimes et leurs insanités.
Les quelques derniers mois on vu s’abattre sur les journalistes marocains le couperet de la terreur, après l’adoption par le parlement d’une nouvelle loi destinée à mettre de l’ordre dans la profession et à soumettre les journalistes à de nouvelles normes et règles de travail que certains considèrent comme un acquis important, tandis que d’autres y perçoivent une régression sur la voie de la créativité et de la liberté d’expression.
Les villes du Sahara dans les provinces sud du Royaume du Maroc ne sont sans doute pas comparables à celles de la Mauritanie voisine classées premières dans le monde en matière d’esclavage.
Les lignes rouges... voici l'expression qui hante les journalistes marocains. Personne ne veut que ses articles soient jetés à la poubelle ou qu'il soit poursuivi en justice parce qu'il a enfreint l'une des lois de l'Etat, rien qu'en écrivant sur un sujet tabou.
Les dernières élections communales et régionales du mois de septembre dernier ont enregistré la participation de jeunes femmes sahariennes cultivées. Certaines d’entre elles ont réussi ; d’autres ont échoué. Mais, malgré cela, elles n’ont vu dans cet échec qu’une motivation plus ferme pour recommencer l’expérience.
Être maçon est l'un des métiers les plus difficiles à exercer, surtout sous les multiples variations météorologiques qui se produisent fréquemment dans la ville de Laâyoune.
Le problème de la formation continue dans le secteur des médias n'est pas sans rapport, dans les régions sahariennes en général et dans la ville d'El Ayoun en particulier, avec le problème du développement et les difficultés socio-économiques qui poussent de nombreux talents jeunes à émigrer vers le Nord dans l'espoir de réaliser leurs rêves d'obtenir enfin un poste de journaliste.
Dune Voices est un projet de l'Institut de diversité médiatique (MDI).
Dune-voices se propose de fournir des reportages fiables et approfondis en provenance du Sahara. Le projet s'intéresse particulièrement aux questions telles que les conflits, la sécurité, la condition des femmes, la jeunesse, les minorités ethniques et religieuses, ainsi qu'à d'autres problématiques, permettant de donner la parole aux groupes marginalisés et aux habitants ordinaires du Sahara, souvent oubliés par les médias traditionnels. Consultez media-diversity.org