Avec beaucoup d’hésitation et une peur bien visible, El Mokhtar se présente à ceux qui ne le connaissent pas comme « agriculteur » ou « cultivateur ». Mais au fur et à mesure qu’on discute avec lui, on découvre les côtés ténébreux de sa profession. Imperceptibles d’emblée, les aspects inavoués de son activité peuvent mener à la prison au Maroc ou, au mieux, à une vie de perpétuelle angoisse et de soupçons incessants à l’égard de son plus proche entourage.
Entre les flancs de l’Atlas marocain, les petits enfants affrontent beaucoup de difficultés pour venir à bout de leurs premières années de scolarité et aussi de celles qui suivent. Car dans ces contrées où, pendant l’hiver, la nature est impitoyable envers les habitants, les enfants parcourent chaque jour plusieurs miles pour arriver à l’école. Même ceux qui ont la chance de voir monter un établissement scolaire près de chez eux, se trouvent obligés de le quitter quelques années plus tard.
« La Sainte de Souss » ou « l’Arbre de Vie » ; c’est ainsi que les Marocains, notamment ceux du Sud, surnomment l’arganier, cet arbre unique aux vertus innombrables et dont les graines refusent de pousser dans tout autre sol et dans toute autre que ceux du Maroc, en particulier ceux de la région de Souss-Massa dans le Sud. C’est d’ailleurs ce qui distingue cette huile et la rend parmi les plus rares et les plus recherchées dans le monde.
La faculté des lettres et des sciences humaines d’Agadir a organisé, vendredi 5 février 2016, une rencontre-débat avec le Rédacteur en chef de www.dune-voices.info, Mourad Sellami, pour parler de l’intérêt de la diversité dans le champ médiatique. La rencontre a également été l’occasion d’honorer les lauréats marocains du ‘Prix Dune-Voices’ (1ère session), organisé par le site au profit des journalistes dans les cinq pays couverts par le projet (Algérie, Libye, Mali, Maroc, Mauritanie).
Dans la ville de Marrakech, « la place de la mosquée d’El Fana » (déformation phonétique de l’expression arabe « Al Fanaa’ ») est un mélange impressionnant de merveilles rarement réunies au même endroit dans le monde. Extrêmement animée jour et nuit, on peut y croiser tout au long de la semaine toutes sortes de donneurs de spectacles : dresseurs de serpents, clowns, danseurs travestis, conteurs, prestidigitateurs, musiciens.
C’est une jeune fille trentenaire qui pense sans cesse au suicide à cause des violences incessantes dont elle est victime de la part de son frère, de son père et de sa belle-mère. Ces personnes cruelles aux cœurs de pierre ont en effet transformé sa vie en enfer, comme s’il ne lui suffisait pas de devoir travailler très dur, tous les jours, dans un marché populaire voisin de la maison où elle habite, au quartier Mouhammadi à Casablanca, pour subvenir honnêtement à ses besoins quotidiens.
A dix kilomètres de la ville de Laarayech, au nord du Maroc, le village de Lahyaydha a été choisi par une société espagnole pour abriter le siège d’une entreprise de production et de commercialisation du riz.
La ville de Marrakech, spécialement la place de "la mosquée Al Fana", c’est la capitale du tourisme selon les célébrités internationales. C’est aussi un espace pour gagner sa vie quotidiennement pour les artistes pauvres. C'est le point de rendez-vous des professionnels de l'art de la "Halka" avec ses différentes scènes musicales et de spectacle.
Le divorce représente aujourd’hui un des sujets de discussion favoris dans la société sahraouie.
La carte de séjour marocaine devient le nouveau sésame des milliers d’Africains, qui transitent depuis des décennies par le Maroc, vers l’Europe. Mais, au début, le Royaume chérifien n’était qu’une escale pour ces dizaines de milliers de Subsahariens.