Ce n’est pas un hasard si la ministre italienne de la Défense, Roberta Butoni a déclaré que l’intervention militaire en Libye ne peut pas attendre le prochain printemps. Elle est consciente qu’avec l’entrée du printemps et l’amélioration de la météo, l’émigration clandestine reprend de plus belle et l’Italie est le pays le plus touché par ce phénomène.
Les esclaves en Mauritanie souffrent de violations flagrantes qui ont fait des milliers de victimes selon les organisations qui les défendent.
Corps minces, petites tailles et des joues rouges de honte, tels sont les profils de ces enfants qui vendent de petites choses à longueur de journées, et parfois même tard la nuit. La vie les a obligés de quitter les bancs de l’école et les a contraints à vendre tout et n’importe quoi, des chewing-gums aux mouchoirs au niveau des feux de circulation. Ils sont même exploités dans des boutiques où les actes d’esclavagisme les plus atroces sont commis à leur encontre, y compris vendre leurs corps. Et si quelques pareils scandales éclatent de temps à autre, la majorité est passée sous silence tant le sujet est tabou.
Un nouveau phénomène est en train de proliférer en Algérie : l’accouchement à domicile. De plus en plus de femmes préfèrent accoucher chez elles plutôt que dans un hôpital. Elles estiment que « c’est la meilleure façon d’accoucher, entourées de leurs familles ». Certaines y voient un retour aux sources. Une sorte de bénédiction pour le foyer familial.
Dès que le gouvernement de Fayez Sarraj a atterri à Tripoli, les protestations ont diminué et les félicitations se sont multipliées, tant au niveau national qu’international, par rapport à l’entrée calme du Conseil présidentiel du gouvernement d’union nationale à la capitale libyenne.
A 60 km à l’est de la ville d’Alek au centre de la Mauritanie vit l’enseignant Jalou Slimane. Il habite au rassemblement d’habitats de Bourat, construit depuis des années au cœur de la campagne mauritanienne, dans une région connue sous le nom « le triangle de la pauvreté ». Il s’agit d’une zone où l’analphabétisme, les maladies et l’absence d’établissement de santé font rage. Les gouvernements qui se sont succédés n’ont fait que perpétrer les mêmes promesses à l’approche de chaque échéance électorale. Des promesses qui n’ont jamais été tenues.
Malgré l’amélioration relative constatée au Maroc en termes d’acquis sociétaux, certains points d’interrogation restent d’actualité, notamment, en Malgré l’amélioration relative constatée au Maroc en termes d’acquis sociétaux, certains points d’interrogation restent d’actualité, notamment, en ce qui concerne les personnes aux besoins spécifiques. Cette catégorie vit toutes sortes de souffrances qui s’amplifient quand ces personnes appartiennent à des catégories défavorisées ou marginalisées.
Les forces de Tripoli ne parviennent pas à récupérer les six localités récemment occupées par Daech ; les troupes de Haftar resserrent l’étau autour de Daech et de ses alliés à Benghazi ; Les envoyés de l’ONU n’ont pas été reçus à Benghazi et Zentane.
La question des violences à l’égard de la gente féminine intéresse les autorités, la classe politique, la société civile et la population au Nord du Mali, surtout dans cette conjoncture de conflit, vécu par ce pays, durant ces quatre dernières années. D’où l’intérêt d’un projet comme « Education et sensibilisation des populations sur les violences spécifiques faites aux femmes et filles et les stratégies d’accompagnement des victimes », qui vient d’être lancé en ce mois de mai 2016 au Mali. Ce projet est mis en œuvre par l’Observatoire malien des droits de la femme et de l’enfant (ODEF), soutenu par la mission MISAHEL de l’Union africaine pour le Mali. Il sera opérationnel dans les régions de Mopti, Gao et Tombouctou.
Le manque de confiance ne cesse de s’approfondir entre les Tunisiens et leur classe politique, comme le confirme le sondage entrepris par le cabinet Elka Consulting. 52,8 % des interviewés sont dans le doute, notamment dans le Sud tunisien et les zones marginalisées, qui ont constitué la colonne vertébrale du soulèvement du 14 janvier 2011.