«Je suis tombé amoureux du Maroc. J’adore le Maroc qui est un pays ouvert et qui mérite qu’on travaille le développer davantage ». C’est ainsi que Marcel Omyeto commence ses propos. Omyeto est émigré de la République démocratique du Congo. Il est arrivé au Maroc, passant par Oujda, il y a dix ans. Il est aujourd’hui Secrétaire général du premier Syndicat des travailleurs émigrés.
Depuis toujours, des gens se sont perdus dans le désert. Par le passé, on avait recours à des experts en poursuite des traces pour les retrouver. De nos jours, dominés par les nouvelles technologies, un message sur WhatsApp suffirait pour constituer toute une équipe de recherche. Une fois constituée, cette équipe couvre une zone géographique étendue pour s’assurer d’une issue heureuse de l’histoire.
A l’origine, le khayssal (mot Wolof donné aux produits dépigmentants) était utilisé par les personnes très pigmentées pour s’éclaircir le teint. Aujourd’hui, le phénomène gagne en ampleur et le khayssal est utilisé, en plus, par celles qui ont déjà la peau claire pour devenir encore plus claire. Pire, cette pratique qui était du domaine du privé et du tabou, envahit des espaces publics, jusqu’à entrer dans les pratiques sociales traditionnelles.
Produire et exporter est une véritable gageure en Algérie. Le paradoxe est que le pays importe le gros de ses biens alimentaires. La logique aurait voulu que les hommes et les femmes qui arrivent à économiser des devises à la Banque centrale soient chouchoutés. Mais ce n’est malheureusement pas le cas.
Au cours des dernières années, de nombreuses chaînes satellitaires arabes ont investi dans la production de feuilletons. Ces feuilletons mettent en avant la culture des nomades et bédouins. Des pays, comme l’Egypte et la Syrie, sont largement en avance. Au Maroc, la situation semble être complètement différente.
« Nous ivoiriens résidents en Mauritanie sommes traqués nuit et jour par la police mauritanienne pour une histoire de carte de séjour. Carte censée être supprimée selon nos autorités. Ce n’est peut être pas la meilleure solution mais appliquer la réciprocité (refouler les mauritaniens de Côte d’Ivoire) aura le mérite d’alerter la partie mauritanienne sur les conséquences du nom respect de ces accords ».
La ville de Ghat, à l’extrême Sud libyen vit sous le blocus après la fermeture des frontières par les autorités algériennes. Auparavant, en septembre dernier, ce furent les autorités libyennes qui ont suspendu l’unique ligne aérienne vers Tripoli, en raison de la fermeture de l’aéroport de Tripoli. Cette ligne a été certes rétablie il y a trois mois. Mais le blocus est toujours là. Ghat vit entre le marteau de la guerre civile et l’enclume de la rareté des produits alimentaires.
Ils ont peur. Ils implorent toute voiture passant vers Ceuta. Ils supplient son conducteur. Mais, aucun chauffeur ne veut s’arrêter. La route est constituée d’une gigantesque forêt inoccupée. Ces candidats africains à l’immigration clandestine ne cessent de tenter leur chance, malgré l’absence de toute aide. C’est en quelque sorte la détermination du désespéré. Il ne dispose plus d’espoir. Et pourtant, il s’accroche, infatigablement et sans cesse.
Avec la recrudescence de la violence et de la guerre dans des villes libyennes particulièrement dans l’ouest du pays, les autorités tunisiennes manifestent clairement leur crainte des risques qui menacent leur pays. Elles craignent notamment l’infiltration d’éléments terroristes vers la Tunisie et l’introduction d’armes au profit de certaines parties à l’intérieur du pays.
Le village Beldet Omar se situe à 140 km au Nord du chef-lieu de la wilaya de Ouargla. Il connaît des progrès importants en termes de développement. Mais, les problèmes du transport constituent un obstacle majeur pour le bon déroulement des services et les intérêts des citoyens.