Le centre du Mali à l'instar des régions au nord du pays connait une recrudescence des attaques terroristes du Front de Libération du Macina. Pour mieux s'implanter dans la plaine du Macina, le groupe recrute parmi la population des jeunes bergers des bourgades environnantes.
Elles ont entre 16 ans et 22 ans. Emmitouflées dans un niqab, des filles, dans la journée, tendent la main aux passants et aux automobilistes à l’arrêt et le soir, elles s’offrent au premier venu à l’hôtel où elles logent.
Etre en congé, n’est pas forcément être en vacances. Et beaucoup d’Algériens, notamment des fonctionnaires de l’Etat, en fait des cadres moyens, n’ont pas les moyens de s’échapper de la routine et du stress pendant leur congé.
La crise touche 2,4 millions de personnes en Libye. Le nombre d’immigrés et de réfugiés s’élève à 250 mille alors que le nombre de déportés se situe encore à 417.000. La situation humanitaire sombre davantage dans ce pays en guerre.
Le Haut conseil pour l’unité de l’Azawad (Hcua) et le Groupe d’auto-défense des Imghads (Gatia) et alliés se sont violemment affrontés durant les mois de Juillet et d’Aout 2016 pour le contrôle de la ville de Kidal. Des dizaines de décès ont été enregistrés. Les responsables du Hcua insistent sur le fait qu’il ne s’agit pas d’une guerre communautaire entre les Ifoghas et les Imghads, comme essaient de le communiquer mais, qu’il s’agit de l’avenir de l’AZAwad.
Après le boom économique des années 1980, où ça « sonnait partout » –en référence aux sociétés nationales qui pullulaient sur tout le territoire national- le temps des vaches maigres a surgi brusquement à partir de 1995.
Les milices de Daech sont à la déroute à Syrte face aux troupes de Misrate, soutenues par les Américains. L’armée du Général Haftar resserre l’étau autour de Daech et ses alliés dans un petit réduit à Benghazi. Ce recul de Daech ouvre de nouveaux horizons entre l’Est et l’Ouest libyens.
Le contraste est saisissant au niveau des grandes villes mauritaniennes. Le scenario qui s’offre aux visiteurs est partout le même : des habitats précaires à côté des villas luxueuses, la faim qui côtoie l’abondance et la misère face à l’opulence.
Elles sont une quarantaine de femmes qui portent de jolies melhafas (voiles mauritaniens) ou de boubous colorés et elles se sont réunies dans une salle de conférence au cœur de la ville de Nouakchott. Elles sont fonctionnaires, consultantes, professeurs, militantes des droits de l’Homme, journalistes, députés ou présidentes d’ONG. La crème des compétences au féminin. Elles sont de toutes les catégories sociales, de toutes les communautés, de toutes les formations politiques, majorité et opposition.
Ville maudite ? Le nom de Reggane pourrait facilement se confondre avec sinistre, malheur, mort…