Dans la ville de Benghazi en Libye, le secteur de la santé est confronté à des conditions extrêmement difficiles à cause de l’insécurité qui règne sur la région. Cette situation s’est répercutée sur l’ensemble des habitants qui souffrent désormais de l’absence des services de santé, soit en raison du manque de médecins, d’infirmier et de techniciens de santé, soit en raison de la pénurie aigüe des médicaments et des fournitures médicales de première nécessité.
La partialité de la presse envers certaines parties aux dépens des autres, l’absence d’une vision médiatique nette, l’inexistence d’un code de déontologie professionnelle valable aussi bien pour les médias qu’à l’échelle nationale…
Les habitants de la circonscription d’Alnif se remémorent encore le terrible drame qui les avait secoués en 2013, lorsque Fatma Ben Yechou, qui venait d’accoucher de jumeaux s’est dirigée vers le dispensaire local d’Alnif pour qu’on arrête son hémorragie.
Depuis la crise de 2012, le secteur du tourisme, qui représente 80% de l’économie nationale, est paralysé. A Tombouctou (au nord du Mali), les hôteliers, les responsables des agences de voyage, les guides touristiques et les artisans qui vivent essentiellement de ce secteur, connaissant de grandes difficultés.
Depuis environ quatre ans, les enfants de Kidal (nord du Mali) sont privés de cours et d’enseignement. Sur un total de 67 écoles dans toute la région, seulement 11 sont ouvertes mais manquent, toutefois, de personnel enseignant.
Un accord de paix a été signé le 15 mai 2015, entre le gouvernement du Mali et différents groupes armés du Nord du pays, notamment la coordination des mouvements de l’azawad (CMA) et la plateforme de groupes d’autodéfense dont le groupe d’auto des touareg imagads et alliés (GATIA).
Il n’y a pas une seule région de Libye où ne se trouverait pas un vestige ou un monument qui témoignent de l’histoire et du patrimoine culturel de cette terre qui, se trouvant à un emplacement géostratégique, fut depuis toujours au carrefour des grandes civilisations successives.
Les dernières élections communales et régionales du mois de septembre dernier ont enregistré la participation de jeunes femmes sahariennes cultivées. Certaines d’entre elles ont réussi ; d’autres ont échoué. Mais, malgré cela, elles n’ont vu dans cet échec qu’une motivation plus ferme pour recommencer l’expérience.
Bien qu’acculés et continuellement harcelés, les réseaux de contrebande continuent à résister. Ils ont même fini par développer des parades. Il faut dire que la contrebande est, depuis de longues dates, une pratique bien organisée et, qui plus est, dispose de complicités de part et d’autre de la frontière entre le Mali et l’Algérie.
La guerre impitoyable qui bat son plein en Syrie a poussé la famille de Fatma Abbes et beaucoup d’autres encore à quitter la ville syrienne d’Idlib et à entamer un long périple qui les a menées d’un continent vers un autre. Ils se sont d’abord trouvés à Khartoum où ils ont trouvé un accueil chaleureux auquel, nous confie Fatma, ils ne s’attendaient pas.