Dans le nord du Mali, le besoin, la misère et les dures conditions dans lesquelles vivent les enfants de Tomnouctou les poussent à quitter très tôt les bancs de l’école pour se diriger vers le marché de l’emploi. Ces enfants à la fleur de l’âge se retrouvent donc jetés sans le vouloir dans les flots houleux du monde du travail et poussés malgré eux à abandonner définitivement les études.
Des données choquantes ont été révélées récemment lors d’une conférence de presse tenue par des activistes femmes dans la capitale marocaine Rabat autour du thème « Femme et corruption ».
La journaliste mauritanienne de ‘Dune-voices’, Meimouna Saleck’, a décroché le 18 Février 2016 à Amman, le prix des médias en ligne de la neuvième édition d’Anna Lindh pour la presse euro-méditerranéenne. Meimouna a été choisie pour son article :
Les étudiants étrangers des mahadhras en Mauritanie, courtisés par les jihadistes
La ville de Casablanca compte, à elle seule, plus de 125 mille vendeurs ambulants. Déménageurs et vendeurs de légumes, de pain et autres denrées, « occupent », selon l’expression juridique, les lieux publics et contribuent à en défigurer l’esthétique et à y entraver la circulation. La rue et les trottoirs sont pourtant les lieux où ils puisent leur unique source de revenus, lieux que le gouvernement d’Idriss Jettou a voulu déplacer en lançant un projet qui a coûté des milliards de dirhams, en vain.
Récemment, un mariage entre deux homosexuels sénégalais, vivant en Mauritanie, a défrayé la chronique à Nouakchott. La plupart des journaux et sites électroniques de la place en ont fait leurs choux gras.
En Algérie, la polygamie n’est pas interdite par la loi. Les hommes désirant se lier avec une seconde épouse doivent néanmoins avoir l’assentiment de leur première femme. Le Code de la famille, révisé en 2005, limite par ailleurs la polygamie à des cas précis tels que le «handicap de la première épouse ou son incapacité à procréer ». C’est pourquoi l’autorisation de 2ème mariage est accordée par un juge après consultation de la 1ère épouse.
C’est une initiative sans précédent au Maroc. Des taxis sont apparus avec, sur leurs vitres arrières, les inscriptions : « Transport gratuit pour les personnes handicapées », « Les personnes handicapées sont transportées gratuitement», ou encore « C’est gratuit pour les personnes handicapées »…
Dans les villages de Hizoua, Sakiet Sidi Youssef et Hydra, sur les frontières tuniso-algériennes, ou Dhehiba et Ras Jedir, sur les frontières tuniso-libyennes, il n’y a que l’école, l’hôpital et les postes de police ou de frontières qui rappellent de l’identité nationale tunisienne de ces régions. Pourtant, l’économie locale est très active.
Malgré la présence remarquée de l’armée malienne et des forces de la Minusma et de l’opération Barkhane, l’insécurité continue de régner dans la région de Tombouctou. Des enlèvements de civils et de militaires ainsi que des vols de voitures, de motos et des braquages des forains ont été signalés un peu partout à travers les communes de cette grande ville du nord du Mali. Pour dénoncer cette situation intenable, plusieurs centaines des jeunes ce sont dernièrement donnés rendez-vous à la place Sankore, l’un des huit quartiers de la ville, pour revendiquer d’une seule voix une meilleure protection des biens et des personnes.
Le pays Dogon est inscrit depuis 1989 sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO sous le nom de « Falaise de Bandiagara ». Grâce à son potentiel culturel riche et varié (mission culturelle de Bandiagara), il fait partie des destinations touristiques les plus prisées du Mali. Jadis abondamment visité, aujourd’hui il a été déserté. Cela met toute la région en difficulté.